Comparateur mutuelle grossesse

Auteur : La rédaction Comparatif Mutuelle     -     Mise à jour : 1246 jour(s)

Pourquoi souscrire une mutuelle maternité ?

Une bonne mutuelle maternité apporte un soutien financier intéressant à une famille, tout au long de la grossesse. Des contrats remboursent le ticket modérateur sur l’ensemble des frais de santé de la future mère dans le cas où un remboursement total ne serait pas prévu par la Sécurité sociale.

Selon les formules et les situations, cela inclut :

  • les deux premières échographies ;
  • les frais médicaux qui ne sont pas liés à la grossesse (avant le sixième mois) ;
  • tout examen facultatif et complémentaire ;
  • les dépassements d’honoraires (en totalité ou en partie).

Au sujet de l’accouchement et de l’hospitalisation, les coûts de confort peuvent être pris en charge par une complémentaire. Parmi ceux-ci figurent :

  • la chambre individuelle ;
  • la mise à disposition d’un lit pour un accompagnant ;
  • la télévision.

De nombreuses mutuelles offrent également une prime de naissance s’élevant à 200 euros en moyenne. Certaines exigent une adhésion d’un an au minimum au contrat pour pouvoir prétendre à cet avantage. Pour la percevoir, il faut fournir une copie de l’acte de naissance auprès de sa complémentaire santé. Elle se cumule avec celle de la CAF si l’adhérente y a droit.

Comparateur mutuelle grossesse
Comparateur de mutuelle pour femme enceinte

En somme, il est intéressant de souscrire une mutuelle femme enceinte parce qu’en règle générale, la prise en charge de tous les frais médicaux se fonde sur le tarif de convention de la Sécurité sociale. En plus d’aider à régler les frais de confort et les dépassements d’honoraires, ce choix permet de payer entre autres :

  • les visites systématiques auprès du pédiatre ;
  • le forfait hospitalier.

Des mutuelles santé proposent même à leurs adhérentes des forfaits maternité. Ils prennent en charge la totalité des frais liés à la grossesse.

Comment choisir une bonne mutuelle pour femme enceinte ?

Il convient de bien se renseigner sur les offres présentes sur le marché afin d’effectuer le meilleur choix. En souscrivant un forfait naissance, la future mère disposera d’une somme pour régler tous ses frais d’accouchement. Elle sera libre de l’utiliser comme elle le souhaite :

  • chambre particulière ;
  • honoraires des médecins ;
  • layette pour le nouveau-né.
  • prestations de bien-être (l’ostéopathie ou l’acupuncture par exemple). 

Des complémentaires santé offrent même le double de la somme prévue en cas d’accouchement de jumeaux.

Cependant, les forfaits maternité risquent de ne pas suffire, par exemple en cas de :

  • prolongement du séjour à l’hôpital ;
  • dépassements d’honoraires.

Lorsque l’on accouche au sein d’une clinique privée, il est alors préférable de choisir une mutuelle qui :

  • prendre en charge 150 % de la BRSS ou Base de remboursement de la Sécurité sociale ;
  • rembourse les dépassements d’honoraires (gynécologue, médecin accoucheur, anesthésiste, etc.) et les frais de confort.

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En effet, les honoraires des médecins sont généralement élevés dans ce type d’établissement.

Par ailleurs, si l’on choisit d’aller dans un hôpital public, il est bon de noter que les tarifs varient de manière considérable d’un établissement à l’autre. D’où l’intérêt de bien se renseigner sur les prix pratiqués par les centres publics de sa région.

Dans tous les cas, il est conseillé de trouver une bonne mutuelle dès le début de la maternité, voire avant si possible. Certaines complémentaires santé attendent longtemps après la souscription avant d’accepter la prise en charge. Il vaut mieux choisir un contrat :

  • avec un bon niveau de garanties ;
  • sans délai de carence ou délai d’attente.

Concernant ce dernier, il s’agit d’un délai de trois à six mois, appliqué par de nombreux organismes, au cours desquels aucuns frais ne sont remboursés.

Aussi, dès que la grossesse est confirmée, il ne faut surtout pas attendre plus de trois mois pour la déclarer auprès de sa Caisse d’assurance maladie. Il convient de souligner que la prise en charge de 70 % sur les consultations s’applique jusqu’à la fin du cinquième mois. Par ailleurs, les examens obligatoires sont entièrement couverts.

Important : durant douze jours après l’accouchement ainsi qu’à compter du sixième mois de grossesse, tous les frais sont totalement remboursés. Cependant, il est nécessaire de prévoir un contrat de complémentaire santé couvrant les dépassements d’honoraires.

En principe, il est important de se faire rembourser les frais d’hospitalisation et les dépassements d’honoraires. Cependant, il serait tout aussi intéressant de souscrire une bonne couverture sur les soins de ville, étant donné qu’un enfant en bas âge doit être emmené régulièrement chez le pédiatre.

En outre, il faut également prendre en compte le fait que si certaines primes sont élevées, c’est tout simplement parce que les cotisations versées sont tout aussi importantes. C’est pourquoi il est toujours judicieux de mettre en concurrence les contrats pour faire le bon choix, en étudiant particulièrement :

  • les niveaux de remboursement ;
  • l’étendue des garanties supplémentaires.

Certaines mutuelles proposent de prendre en charge des prestations complémentaires telles que la rééducation post-accouchement, la fécondation in vitro et le forfait amniocentèse, en plus :

  • des garanties classiques ;
  • du forfait naissance ;
  • de la prime de grossesse ;
  • des dépenses de confort.

Important : dès la déclaration de la grossesse, la future mère doit penser à bien mettre à jour sa carte Vitale afin de faciliter les remboursements.

Quels soins de grossesse sont remboursés ?

À partir du 6e mois, les dépenses sont plus élevées, même si la grossesse est entièrement prise en charge durant cette période. Elles sont également particulièrement nombreuses à la fin du séjour à la maternité.

C’est alors d’autant plus nécessaire de trouver une formule adaptée aux besoins et au budget de la future mère afin qu’elle puisse vivre sa grossesse en toute sérénité. Pour rappel, en France, elle peut profiter d’un remboursement de ses frais médicaux, de la déclaration à un mois après son accouchement. Celle-ci sera transmise à l’Assurance maladie par voie postale ou par courriel. Tout au long de la grossesse, il est possible de complémenter la Sécurité sociale par la mutuelle santé maternité, afin d’optimiser les remboursements. Ce choix permet également à l’adhérente de se faire rembourser les dépenses qui ne sont pas prises en charge par la Sécu, dont :

  • les visites auprès de spécialistes, à sa propre initiative ;
  • les dépassements d’honoraires pratiqués par les praticiens non conventionnés (obstétricien, gynécologue, etc.) ;
  • les analyses facultatives.

Notons que les remboursements peuvent être exprimés en :

  • frais réels ;
  • forfait en euros ;
  • pourcentage.

L’assurance hospitalisation aux frais réels est performante, mais plus coûteuse.

Pour s’informer sur l’étendue des couvertures d’un contrat, il faut se référer aux conditions générales. Les garanties avant le séjour à la maternité peuvent généralement être retrouvées sous l’onglet « soins courants ».

Rappelons qu’après la naissance, divers frais sont encore complètement pris en charge par la Sécurité sociale, dans les limites du tarif de base. Parmi ceux-ci, on peut citer :

  • les sessions de rééducation périnéale ;
  • les éventuels frais de séjour à l’hôpital du nouveau-né ;
  • la visite post-natale.

Quels sont les frais de grossesse pris en charge par la mutuelle santé ?

Comme cité précédemment, la souscription d’une complémentaire santé est indispensable pour obtenir un remboursement complet. Celle-ci rembourse le ticket modérateur et les dépassements d’honoraires. En fonction des garanties du contrat, elle peut même prendre en charge :

  • les frais de confort ;
  • les frais d’hospitalisation.

Même si l’Assurance maladie couvre la plupart des frais liés à la maternité, la souscription à une mutuelle permet donc de profiter de plus de confort, surtout lors de l’hospitalisation.

Durant la grossesse, de nombreux examens sont nécessaires, voire obligatoires. De sa déclaration à quelques mois après l’accouchement, les frais concernent :

  • la surveillance mensuelle ;
  • les analyses régulières ;
  • les examens exceptionnels (caryotype fœtal, amniocentèse, etc.) ;
  • les échographies ;
  • l’accouchement ;
  • l’hospitalisation ;
  • le suivi post-partum.

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De la déclaration de grossesse, au 5e mois révolu, la Sécurité sociale prend entièrement en charge les séances de préparation à l’accouchement ainsi que les examens sanguins, en plus des consultations obligatoires.

À partir du 6ème mois, et jusqu’à 12 jours après l’accouchement, l’Assurance maladie rembourse à 100 %, sur la base du tarif conventionnel :

  • les examens réguliers ;
  • la péridurale ;
  • la rééducation périnéale et abdominale ;
  • les frais d’accouchement ;
  • les frais d’hospitalisation, dans le secteur conventionné ;
  • les échographies ;
  • les analyses.

Important : la souscription à une mutuelle permet à la future mère de se faire rembourser la part des frais restant à sa charge.

Quels sont les frais de grossesse pris en charge par la Sécurité sociale ?

Les prestations remboursées par la Sécurité sociale sont surtout nombreuses avant la naissance. En voici une liste :

  • deux premières échographies effectuées à la 12e et 22e semaine (remboursées à 70 %) ;
  • l’échographie réalisée à la 32e semaine (remboursée à 100 %) ;
  • divers examens totalement pris en charge dès la déclaration de grossesse (dépistage de la rubéole, dosage de la glycémie, etc.) ;
  • sept examens prénataux obligatoires (remboursés à 100 %) ;
  • tous les frais médicaux liés à la grossesse (examens de laboratoire, pharmacie et hospitalisation) ;
  • les consultations médicales ou les médicaments (du 1er au 5e mois de grossesse) ;
  • exonération du forfait de 1 euro et celui de 18 euros, à partir du premier jour du 6e mois (pour les examens de plus de 120 euros) ;
  • huit séances de préparation à l’accouchement ;
  • le caryotype fœtal et l’amniocentèse ;
  • Un examen bucco-dentaire.

Lors de l’accouchement, les prestations prises en charge par la Sécurité sociale sont :

  • les honoraires d’accouchement ;
  • les éventuels frais de transport à la clinique ou à l’hôpital, sous prescription médicale ;
  • les frais d’hospitalisation (remboursés à hauteur de 100 % sur la base du tarif conventionnel, durant 12 jours au maximum) ;
  • la péridurale (remboursée à 100 %).

Après la naissance, dix séances de rééducation post-natale comptent parmi les prestations remboursées par la Sécu. Elle prend également en charge :

  • les huit premiers examens de l’enfant, dont trois durant sa deuxième année et les consultations semestrielles, jusqu’à ses six ans ;
  • les deux visites médicales post-natales (6e semaine et 8e semaine après l’accouchement).
  • les séances de rééducation périnéo-sphinctérienne et abdominale ;
  • un examen médical obligatoire.

Au sujet de la fécondation in vitro, la prise en charge porte sur le traitement préalable :

  • l’intervention des infirmières ;
  • les médicaments ;
  • la surveillance hormonale ;
  • la partie biologique de la FIV ;
  • l’hospitalisation.

Dès la déclaration de la grossesse, le remboursement à 100 % concerne également les examens que doivent subir les femmes qui présentent un risque particulier. Parmi ceux-ci, on retrouve le dépistage de :

  • la toxoplasmose ;
  • la syphilis ;
  • l’hépatite B.

En détail, jusqu’à la fin du 5e mois, l’Assurance maladie prend en charge à 100 %, du tarif de base :

  • les consultations prénatales obligatoires ;
  • les examens biologiques complémentaires ;
  • les séances de préparation à l’accouchement et à la parentalité ;
  • l’examen de prévention bucco-dentaire.

Seules deux échographies sont remboursées à 70 % du tarif de base.

À partir du 6e mois à l’accouchement, les soins ci-dessous sont totalement pris en charge à 100 % du tarif de base par l’Assurance maladie :

  • la 3e échographie ;
  • la pharmacie ;
  • les examens de laboratoire ;
  • les analyses médicales ;
  • les frais d’accouchement et de séjour à la maternité (sans les frais de confort et dans la limite de 12 jours).

Après l’accouchement, les frais médicaux ainsi que les honoraires de la sage-femme sont également totalement pris en charge par l’Assurance maladie, sur la base du tarif conventionnel.

À propos de la déclaration de grossesse, c’est le gynécologue, la sage-femme ou le médecin traitant qui s’en occupe, à l’issue du premier examen prénatal. Le professionnel de santé se chargera d’en informer :

  • la CAF ;
  • la Sécurité sociale.

Il peut l’effectuer en ligne, tout simplement en remplissant la télé déclaration. Il a également le choix de remettre un formulaire de déclaration de grossesse, comprenant trois volets, à sa patiente. Cette dernière sera ensuite tenue d’en envoyer un à sa Caisse d’assurance maladie. Les deux autres doivent être transmis à sa CAF.

Quelles sont les aides financières de maternité ?

Parmi les principales aides financières, on distingue celles de :

  • la CAF ;
  • la CPAM.

Grâce à cette dernière, les futures mères salariées ont droit à un congé de maternité d’au moins seize semaines :

  • six avant l’accouchement ;
  • dix après.

En cas d’arrêt d’activité, pendant huit semaines consécutives, elles peuvent obtenir sous conditions des indemnités journalières, dont le montant varie selon leurs revenus précédant l’accouchement, sauf si une convention collective prévoit le maintien de salaire.


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Concernant la CAF, il faut effectuer une déclaration de grossesse à temps auprès de l’organisme pour pouvoir bénéficier des aides financières telles que :

  • la Prestation d’accueil du jeune enfant (perçue sous conditions de revenus, pour les enfants ayant moins de 3 ans) ;
  • la prime à la naissance ;
  • le complément familial (pour les familles ayant trois enfants et plus) ;
  • les allocations familiales (pour les familles ayant 2 enfants et plus, âgés de moins de 20 ans) ;
  • l’Aide d’une travailleuse familiale ;
  • l’Allocation journalière de présence parentale.

Cette dernière est versée aux parents d’un enfant gravement handicapé ou malade, en cas d’arrêt d’activité professionnelle.

En France, diverses aides financières publiques peuvent encore être perçues par la femme enceinte, quel que soit son âge. Certaines l’accompagnent même pendant de nombreuses années. Si elle dispose d’une couverture sociale, les frais liés à sa grossesse et à son accouchement sont pris en charge à 100 %.

Il est nécessaire d’avancer le ticket modérateur dans les centres de santé et les hôpitaux. Or, tout est gratuit au sein des centres de PMI ou protection maternelle et infantile. Lorsque l’on dispose de peu de ressources financières, il vaut mieux se tourner vers une PMI pour bénéficier du suivi :

  • d’un psychologue ;
  • d’une sage-femme.

Si la future mère ne possède pas de couverture sociale, elle peut bénéficier de la couverture maladie universelle de base en s’adressant au centre de Sécurité sociale le plus proche. Pour en bénéficier, il suffit de :

  • résider en France ;
  • être en situation régulière.

Sous certaines conditions, il est également possible de bénéficier de la CMU complémentaire qui permet d’accéder à l’hôpital ou aux médecins, sans débourser aucune avance.

En revanche, en cas de situation irrégulière, il reste possible de profiter de l’AME ou aide médical d’État qui rembourse totalement :

  • les soins maternité ;
  • le forfait hospitalier.

Cette aide s’obtient auprès :

  • de la Sécurité sociale ;
  • d’une assistante sociale.

Aussi, la mère reçoit différentes aides financières publiques non seulement tout au long de sa grossesse, mais également de nombreuses années après la naissance. En effet, en plus de se faire rembourser divers frais médicaux liés à la grossesse et à l’accouchement, elle peut percevoir :

  • des aides complémentaires (si elle dispose de peu de ressources) ;
  • un ensemble d’aides pour accueillir le nouveau-né ;
  • un ensemble d’aide pour élever l’enfant.

Elle recevra des documents lui donnant la possibilité de demander diverses aides liés à l’accueil du nouveau-né, dès sa première visite prénatale. La PAJE compte parmi celles-ci. La Prestation d’accueil du jeune enfant aide notamment à financer les dépenses qui sont liées à l’entretien et à l’éducation d’un :

  • nouveau-né ;
  • enfant adopté.

Cette allocation peut être perçue au cours des premières années suivant sa naissance. Précisons que la PAJE comprend :

  • l’allocation de base (aide mensuelle destinée aux enfants de moins de 3 ans) ;
  • la prime à la naissance (réglée en une fois) ;
  • la prime à l’adoption (réglée en une fois) ;
  • la PreParE ou Prestation partagée d’éducation de l’enfant (selon le nombre d’enfants à charge, en cas d’arrêt ou de réduction d’activité professionnelle) ;
  • le CMG ou Complément de libre choix du mode de garde.

Elle est versée le mois suivant l’accouchement ou l’adoption par :

  • la MSA ou Mutualité sociale agricole ;
  • la CAF ou Caisse d’allocations familiales.

Pour pouvoir en bénéficier, les ressources de la famille ne doivent pas dépasser certains plafonds variant en fonction :

  • de la situation familiale ;
  • du nombre d’enfants ;
  • de la situation professionnelle.

Par ailleurs, parmi les aides sociales pour élever l’enfant, la mère peut bénéficier :

  • du complément familial ;
  • de l’AEEH ou Allocation d’éducation de l’enfant handicapé ;
  • des allocations familiales ;
  • de l’allocation de soutien familial ;
  • de l’allocation de rentrée scolaire.

Concernant cette dernière, elle est réglée en seule une fois par la CAF, sous conditions de ressources. Cependant, son montant varie en fonction de l’âge des enfants. Quant à l’allocation de soutien familial, elle peut être obtenue sans conditions de ressources, dans le cas où la mère :

  • vivrait seule ;
  • élèverait seule ses enfants de moins de 21 ans.

D’autre part, en cas de difficultés financières, la femme enceinte a le droit de faire une demande de RSA ou Revenu de solidarité active. Pour y être éligible, il faut :

  • résider de manière stable en France ;
  • vivre dans le pays depuis plus de cinq ans ;
  • posséder la nationalité française ou être ressortissant de l’UE, avec un titre de séjour.

La demande s’effectue directement auprès de la CAF la plus proche de chez soi. Si la femme enceinte est très démunie, elle peut par ailleurs demander une ASE ou Allocation mensuelle auprès de l’aide sociale à l’enfance. Attribué dès le début de la grossesse, le montant de cette aide mensuelle varie en fonction de :

  • sa situation ;
  • la politique locale en place.

Soulignons que pour bénéficier de ces différentes aides financières, il est impératif d’effectuer la déclaration de la grossesse, avant la fin de la 14e semaine. Pour connaître leurs montants, il est possible de se servir d’un simulateur en ligne.

Comment réussir sa comparaison de mutuelle grossesse ?

Pour réussir sa comparaison de mutuelle grossesse, il est conseillé de s’attarder notamment sur :

  • les garanties hospitalisation ;
  • les différentes catégories de protection (protection dentaire, soins médicaux généraux, etc.) ;
  • la médecin courante ;
  • voire les options liées à la maternité.

Pour ce faire, il faut se rendre sur les sites de différents assureurs et effectuer une demande de devis afin de pouvoir consulter les garanties incluses dans les formules d’assurance. L’utilisation d’un comparateur et d’un simulateur en ligne est recommandée pour mener à bien ces démarches.

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